Les livres, source de savoir

Les livres et écrits ont permis de conserver le savoir collectif et de le transmettre à tous. En effet, sans l’imprimerie et la possibilité de garder l’information à tout jamais en plus d’être accessible, les histoires, savoirs collectifs et informations subissaient une grande transformation au cours des années. Celles-ci n’étaient conservées uniquement par la tradition orale, soit de bouche à oreille, ce qui transformait les informations à la manière d’un «jeu de téléphone», ce jeu dont la plupart des enfants ont joué; exemple flagrant de cette possibilité de désinformation.De plus, l’alphabétisation se faisant rare ne permettait qu’à certaines figures d’autorités comme les moines de recopier les manuscrits. L’information véridique et juste était quasi impossible, dû à la subjectivité de ceux-ci par rapport à ce qu’ils permettaient de publier. Le savoir, c’est véritablement le pouvoir et avant l’imprimerie et l’accès à tous à l’information, c’est justement l’église qui l’avait.

Avènement du journal et distribution de l’information

À l’époque où il n’y avait pas l’imprimerie, l’information cruciale se disait sur la place publique, puis de plus en plus, graduellement, sur de petites affiches. L’imprimerie et le journal ont permis de distribuer beaucoup plus d’informations avec une portée bien plus grande, contribuant encore une fois à contrer la désinformation.

Alphabétisation

Avec l’avènement de l’imprimerie et les livres disponibles de plus en plus facilement, on a pu assister à un lien non discutable entre ceci et l’alphabétisation se faisant de plus en plus courante. Comme dit plus haut, plus un peuple a du savoir, plus il a de pouvoir et il ne s’agissait que d’une question de temps avant que bien des choses ne changent historiquement parlant. Choses qui auraient été quasi impossible avec un contrôle du savoir comme c’était le cas auparavant. Le monde tel qu’on le connaît aujourd’hui n’aurait tout simplement pas été le même, si l’imprimerie n’était pas présente.